À ta santé mon pays…

Dans la pièce de théâtre “Kask ya Watan”, on a dit : “Mon fils, si tu ne veux pas me redonner ma dignité, ne la piétine pas”.

Dans la première partie, il y a eu une conversation entre un père et son fils à la suite d’un événement déshonorant commis par ce dernier.

Dans la deuxième partie, une femme est jetée du haut de la pyramide jusqu’à ses pieds, pour la faire taire, ce qui ressemble plus à une soumission qu’à un silence.

Tout commence avec le système officiel, les extrémistes religieux, les universités, les écoles et les instituts, les institutions gouvernementales, financières et commerciales, les systèmes de corruption, les médias et surtout les médias, et qu’est-ce que les médias savent vraiment.. !!

Une nouvelle sur un inconnu, la dernière fois que la dignité a été vue dans une poubelle, les journalistes et les responsables se sont précipités, certains confirment, d’autres nient la rumeur, et l’enquête est toujours en cours.

Je prévois que si des entretiens de terrain aléatoires sont menés, avec une probabilité proche de zéro, et si l’on demande qui a vu la dignité, la réponse sera certainement négative, car la dignité est une conscience connectée.

Un peu de dignité, pour l’amour de Dieu, juste un peu de dignité.

Histoire courte
Par: prof. Ahmed Wahbi
Écrivain libanais ✍️ ..

Loading

Rate this post

La Gazette

Learn More →

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

You May Have Missed!