Il a besoin d’un financement d’environ 135 millions de dollars pour stopper l’infection dans les six mois à compter de septembre prochain.
Le Plan stratégique mondial de préparation et de réponse lancé par l’Organisation mondiale de la santé couvre 6 mois dans les pays touchés.
résumé
L’Organisation mondiale de la santé va bientôt lancer un appel de fonds pour clarifier ses besoins et a débloqué environ 1,5 million de dollars de son fonds de réserve d’urgence, tandis que le gouvernement allemand a annoncé lundi qu’il fournirait un don de 100 000 doses de vaccin contre la « variole du singe » à les pays africains qui connaissent la plus forte propagation de la maladie, comme la République démocratique du Congo, après une promesse similaire annoncée par la France.
L’Organisation mondiale de la santé a déclaré lundi que la variole du singe (Empox) en République démocratique du Congo et dans les pays voisins « peut être contrôlée et stoppée », mais qu’environ 121 millions d’euros (135 millions de dollars) sont nécessaires pour financer la réponse internationale au cours des six prochaines années. mois.
Le Plan stratégique mondial de préparation et de réponse à la variole du singe lancé par l’Organisation mondiale de la santé couvre la période de septembre 2024 à février 2025, selon un communiqué.
Il indique que 121 millions d’euros (135 millions de dollars) sont nécessaires pour financer la réponse internationale, notamment l’Organisation mondiale de la santé, les États membres et les partenaires, notamment les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC).
L’Organisation mondiale de la santé lancera bientôt un appel de fonds pour expliquer ses besoins et attend le déblocage d’environ 1,5 million de dollars de son fonds de réserve d’urgence.
Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a souligné dans un communiqué que « la variole du singe en République démocratique du Congo et dans les pays voisins peut être contrôlée et arrêtée ».
La réémergence du Monkeypox et du nouveau variant (souche 1B), détecté pour la première fois en République démocratique du Congo, a incité l’Organisation mondiale de la santé à déclarer le 14 août le niveau d’alerte le plus élevé au niveau mondial.