André-Marie Ampère) (1775 – 1836)

Un scientifique et mathématicien français a mené plusieurs expériences sur les phénomènes électromagnétiques après avoir entendu parler de la découverte d’Oersted de l’effet d’un courant électrique dans un fil sur une aiguille magnétique à proximité. Ampère a démontré cet effet entre deux fils transportant des courants dus aux champs magnétiques qui les entourent. L’unité ampère porte son nom.

Ampère est né le 20 janvier 1775 à Lyon, en France, et y vécut de 1775 à 1796, près de la forteresse de Polmaux et du Mont-d’Or. Son père a commencé à lui apprendre le latin, mais s’est arrêté lorsqu’il a découvert le penchant du jeune garçon pour les études mathématiques. Le petit Ampère continua ses leçons de latin afin de pouvoir lire les ouvrages d’Euler et de Brunelli. Et quand il a atteint l’âge de quatorze ans, il a fini de lire vingt encyclopédies de grande taille.

Puis, à dix-huit ans, on peut dire qu’il en savait beaucoup sur les mathématiques et les sciences, mais ses connaissances abordaient presque tout le cycle des connaissances – histoire, récits de voyage, poésie, philosophie et sciences naturelles.

Pendant la révolution, lui et son père se sont installés à Lyon, s’attendant à être en sécurité dans la ville. De manière inattendue, après la révolution dans la ville, le père a été pris comme victime et exécuté. Sa mort a été un grand choc pour Amber.

En 1796, il rencontre Julie Caron, la fille d’un forgeron près de Lyon, et les sentiments explosent entre eux. et ils se marièrent en 1799. A partir de 1796 environ, Ampère donna à Lyon des cours particuliers de mathématiques, de chimie et de langues ; En 1801, il est muté à Bourges comme précepteur de physique et de chimie, laissant sa femme malade et son jeune fils à Lyon. Puis elle mourut en juillet 1803, ce qui hanta Ampère pour le reste de sa vie. Toujours en 1804, Ampère est nommé professeur de mathématiques à l’École de Lyon.

Ampère disait, à l’âge de dix-huit ans, “En dix-huit ans, il trouva les tournants de sa vie, son premier sacre, la lecture du poème de Thomas à la louange de Descartes, sa participation à la fête de la Bastille… Le jour de la mort de sa femme, il écrivit un verset des Psaumes, et la prière, Seigneur, Seigneur de miséricorde, unis-moi au ciel à ceux que tu m’as empêché d’aimer sur la terre.”

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La Gazette

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