Feuilles de l’arbre de l’amour

Je ne t’ai pas caché les sirènes…
Au contraire, la pagaie de ton cœur m’a perdu parmi les vagues..🌊
Je…je n’ai pas arrosé les larmes du tilleul, le chagrin de ma solitude, tu m’as laissé comme une feuille pendre sur les plaies de la branche 🌿💘
Non, je ne le ferai pas, et je n’avouerai pas à tes yeux que je t’aime.
Tu pénétrais mon cœur d’un désir mystique, et tu allumais une veilleuse après minuit avec tes lettres…
Oui… j’avoue… j’ai caché mon chagrin dans la taverne de ma patience entre des jarres de boue… notre boue, et avec la clameur du vase j’ai cassé les verres de mon amour… ma coupe a versé du sang … mon sang et mon eau… je l’ai emprisonné sous les brises de mes rêves…
Un amas de perles La nuit d’amour entre ses seins a coulé et a coulé aqueux du fond de mes larmes…
J’ai dessiné les symboles de la nuit, une lanterne, je l’ai accrochée, et avec des aiguilles j’ai cousu les lettres de mon nom..et la connexion a été complétée par la connexion, alors l’euphorie du vin a débordé et un rideau de vin noir est tombé sur la tasse du khôl de nuit et prévenu le nadim et le barman..
Tu as cueilli les jaunes pâles et rendu les fleurs de mon arbre vertes avec les taupes de la source de la vie… et tu es ma vie…
Et tu as laissé tomber tes cheveux Hodad Suleiman.. Avec des rêves de roses dans la mémoire d’un vieux cœur, et il vieillit comme les épouses des pins de la conscience
tu m’as blâmé ??
Celui qui m’a laissé avec une accalmie étrange qui est égale au jour et à la nuit, et saupoudre encore l’épice de votre amour sur les cils des significations du désir, l’oiseau de la poésie reste-t-il dans la niche de ses mots, errant avec poésie et prose , et la patrie de ton cœur est avare d’une paille d’olivier, noyée entre pensées et oisiveté ?

Par notre correspondante du Liban 🇱🇧
Mme.Leila Jradi
Écrivaine et poète libanaise ✍

 

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