piano. Jouer sans doigts…

Avis..
Par prof. Ahmed Wahby
Écrivain ✍️ et journaliste libanais…

Utilisez votre magie pour vous sauver, coupez un brin de la magie d’une larme rouge et unissez-vous à vous-même, car vous êtes vos pensées… et cette mer est dans vos âmes, large entre deux souvenirs… respirant des constellations de étoiles, et soyez la forme la plus belle de vous-même, car… les portes des univers s’ouvriront pour vous, et ce sera Les Sidrats sont comme les lignes de chance sur votre paume, et si vous ne voyez pas votre miroir, pesez-le. équitablement aux mondes des livres, car ce sont des esprits qui disent cette magie, et ce doute, ils apportent leur bien. Ne doutez pas d’une âme dans les yeux, dans les nuages, dans le baiser d’un devin, car il y a un spermatozoïde au cœur.

Et s’il s’agit d’un désir du début de la vie, alors même s’il s’agit de chevaux dans la nuit avec le flux de la télépathie, et que ces doigts circulent entre les galaxies, et d’où viennent les significations, ils sont dans la solution d’un grand souvenir dans un livre, et le mien et le sien et le sifflement sont encore dans les histoires d’amour… un talisman accroché à la niche à cordes, Et les narines des épées ont des jets, une pulsation cosmique de leçons, un air qui se serre en retour, des désirs comme des plumes dans leurs rêves, des frissons comme les eaux, des histoires et des légendes, et un voyageur qui n’a aucune raison de partir.

Vous remplissez vos rôles, comme s’il s’agissait d’un rêve de secondes éphémères, et la prochaine vie consiste à lécher les langues en inventant l’impossible. Rien n’est impossible, dit le Phénix. Il n’y a aucun désir d’un traître loyal.. La clé du retour a été perdu, et l’ogre blanc est l’ennemi des peuples. Les désirs ont été écrasés au creux de la Maison Blanche, et au-dessus du sol.. se faufilant. Sous le sol pour une nouvelle ouverture. Si les pièges des illusions deviennent obsolètes, le les mots s’assombrissent et les lampes s’éteignent, et il n’y a personne sur la face de la terre autre qu’un aveugle, descendant de l’Encyclopédie des califes, à la manière d’un cow-boy.

Ton cœur, si ton cœur était les vents, tu les traiterais avec bonté, et le ciel est plein de certitude, et que tu es avec le fœtus dans les ventres, que les croix viennent des rayons des étoiles et des soleils, et au fond de la trahison et des rives, les soldats du harem se turent, et l’âme n’a aucun pouvoir, alors les caravanes d’esclaves marchèrent dans le tumulte de la débauche, et le vide coucha avec Don Quichotte. Et demain Samer grattait la peau des légendes, et lorsque la terre était de noble lignée, la descendance était pour l’homme.

Comte, va donc entre les deux paniers de la nuit et du jour, et puise de l’esprit du pollen le nectar des perdus, et obtiens les larmes d’une rose teintée de désir, puis de deux yeux d’amour, de parfum et de vie. , et frapper les portes de vos écrits, peut-être une lanterne magique.. pour tomber dessus, peut-être.. pour que vous ne perdiez pas vos désirs, Ce n’est qu’un morceau de la magie de la distinction et de l’excitation, et je ne suis pas terrifié si je me surprends il y a des éternités demain, et si je me déguise en costumes d’Halloween, même si l’entrée était interdite, ne vous laissez pas tromper par l’étincelle d’une tempête dans le miroir.

Mais, les nuits des secrets se répandent, et la douleur, et le plaisir vague, et les fantômes obsédants, et ce qui descend sans gardes, peut-être, à cause du souffle de l’argile, pour les tribus des djinns, ici, la mer traverse le pas secs, ici le cœur est assis au haletant d’un corps épais de polémiques, et les passants de mon esprit à la recherche d’une nouvelle carte du monde, Ils obligent les yeux à couper les regards. Ils ne dureront pas longtemps. Mon l’enfant arrache les yeux de la terreur, et je suis sa maison. Il court pour nous embrasser. Derrière les portes se trouve la peur trempée de larmes. Ne sois pas triste, mon fils. J’ai quelque chose qui doit être libéré. ​​Aucune quête ne peut être fermée … Des temps avec un visage unique, avec la rose de l’existence, avec des coups. Ceux qui prononcent des vœux, ceux qui vendent des étoiles… serrant les fibres des idoles, ceci et désirent du tissu des peaux, des adorateurs dans la tête et des déviants, sur les péchés simples, les figures des dessins animés, il y a un matin dans les tas de décombres, où le museau du robot siffle et rugit, comme à midi, le sable vomit des désirs. Les mers..

Nous étions proches, très proches, moi et l’ego, et il y avait quelqu’un qui brisait le miroir chaque fois que le soleil brisait le jour, et quand la goutte de rosée disparaissait… entre les seins de l’étoile de mer, elle se balançait avec un désir volé. Peut-être l’avais-je jeté en offrande à la fiancée de Phénicie. Et j’ai depuis des temps immémoriaux un destin et mes dents fondantes, un guerrier de père galopant avec mes chevaux, et mon père est venu vers elle de la fraîcheur du vent, et voici, la vigne nocturne débordait de la bonté du grotte, quand nous avons été déplacés… nous avons bu de son jus, et « vingt » ont été libérés d’un seul baiser, et ce n’était pas de l’huile bouillante que les mères avaient jetée, une révolution qu’elles avaient endurée. Avec l’eau de l’Esprit. .. avec l’eau des racines, nous sommes bénis. Et du mirage de l’ego il y a une connexion secrète de rêves, blessures crépusculaires dans les lignes du corps, rythme crépusculaire dans la joie de l’aube, et je suis dans les météores de la plénitude, je donne le dernier mot au mirage, je aménagé pour la plume qui tient l’encre, les quartiers des enfants pour qu’on puisse se cacher comme on était..

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