Le poète koweïtien : Abdullah Al-Al-Ateeby ( 1942 – 1995 )

Notre poète a commencé sa carrière littéraire avec la poésie en 1965, avec un poème patriotique diffusé à la radio du Koweït à l’occasion de la célébration de l’indépendance. Cette chanson, chantée par Shadi Al-Khalij et composée par Ahmed Baqer, disait :

Je suis arabe et l’arabisme est ma nation
Je suis venu célébrer avec joie cette fête
J’ai juré que la vie était bon marché
Pour que mon drapeau reste ma bannière dans l’horizon de la liberté

À travers la poésie, Al-Ateeby a commencé à s’intéresser à l’art, en écrivant des paroles de chansons. Il avait des relations personnelles avec de nombreux artistes koweïtiens qui étaient ses camarades à l’Université égyptienne, dont Shadi Al-Khalij et Ghanem Al-Dikan.

Grâce à cette amitié, Al-Ateeby a contribué à développer la chanson koweïtienne et à lui donner une place honorable. Il croyait que la chanson jouait un rôle dans l’éducation du goût social et la purification des sentiments, après avoir été simplement un moyen de divertissement sans réaliser son véritable impact sur la construction sociale.

Plus tard, Al-Ateeby a collaboré avec Shadi Al-Khalij et Ahmed Baqer, et ensemble, ils ont présenté plusieurs chansons patriotiques, religieuses et émotionnelles en résultat de cette collaboration. Parmi elles, la chanson “La Ya Qalbi” enregistrée en 1964, où il dit :

Non, mon cœur, un sourire de mon bien-aimé me suffit
Ni un regard ni un mot doux ne peuvent apaiser ma passion
Non, mon cœur…

Non, mon cœur, j’ai peur de révéler mon amour pour lui et d’expliquer ma passion
Non, mon cœur, il s’éloigne de moi et se fâche de mes paroles.

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La Gazette

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