Après des tentatives lumineuses, mon corps a finalement décidé de s’ancrer dans cet endroit sans interruption temporelle avec mon esprit. Je porte une encyclopédie de mémoire qui ne se dissipe pas sous la fusion des contraires et les explosions des univers.
Je me trouvais dans les recoins des atomes, en colère contre un nuage qui plane sans eau, désespéré. Je l’arrose depuis l’endroit de mes yeux, avec l’espoir de les réunir un jour dans un rassemblement. Je me sens en paix en imaginant différentes formes dans les écoulements du contentement, retirant mes extrémités de la connexion avec le monde, et le cœur abrite des vies qui viendront avec moi.
Lorsque je ne peux pas dormir, lorsque la distance de la lumière se brise à mon arrivée, la douleur de l’oubli m’envahit. Mon corps s’est formé à partir de milliards d’atomes, qui sont l’essence de l’être. Le déclin des univers s’est produit, notre création est survenue ensuite. Le destin ne se détourne pas des examens constants, connectés par des souffrances et des idées juvéniles. Le monde a été renversé, la forme de l’existence est entrelacée, qu’en sera-t-il…!!
Je suis parti à la recherche d’un autre matin, parfois il n’y a pas de mal à choisir un nom incomplet, tous les noms ont subi des pertes, même les extrémités de l’univers ont été coupées par le désir du guerrier. Ils n’ont pas duré longtemps, ils ont marchandé, mais ils n’ont pas réussi. Un enfant, il y a un enfant qui est protégé par des regards instables et des côtes penchées. Son emblème est la côte manquante, donc si elle apparaît dans sa légende, il ne sera pas puni pour les vœux. Il porte un vaporisateur moderne de scarabées, des conférences chaudes contenant des moments inversés, et beaucoup sont morts… Leur espace virtuel est rempli de présence, je les cherche, beaucoup d’entre eux, donc j’ai commencé à chercher la chose et son contraire, après que les visions aient subi une immunité réduite, j’ai verrouillé les visions avec une serrure de mot.
Le mot s’est développé en moi, j’ai mécanisé pour dessiner des tableaux surréalistes sur le spectre humain, sur les univers et les ascensions du moi. Ainsi, chaque image que j’imagine englobe des mondes entiers dans une concentration éternelle chargée d’éléments, comme une eau sédimentaire et existante, une métaphore pour la vie, le désir, pour les exclus de l’oubli. Son verre déborde à chaque fois, rougit de la brume, puis se transforme en eau douce qui nourrit les âmes.
Par: Ahmed Wahby
Écrivain libanais ✍️
