Walid Al-Saif écrit sur l’histoire des relations franco-koweïtiennes.

Délivré au chercheur et conseiller économique koweïtien, Dr. Walid Al-Saif, un livre en français sur les relations franco-koweïtiennes, dans lequel il aborde des aspects des relations politiques et culturelles.

Au début de ce livre se trouve une image du globe, avec un point rouge dessus, dont le nom est l’État du Koweït ! Le lecteur pense que le pays est petit, si petit, que l’espace ne permet pas d’y inscrire son nom. Mais après avoir fini de lire ce livre, le lecteur sera convaincu que les pays ne sont pas évalués en fonction de la taille de leur zone géographique, mais plutôt que l’évaluation doit émerger des actions de l’État au service de son peuple en particulier et de l’humanité en général, et les valeurs, les coutumes et les traditions que porte le peuple pour en faire un sujet de respect et d’appréciation parmi les peuples.

Parmi ce qui est dit dans le livre : Le Koweït est un pays sûr et sécurisé, jouissant d’un haut niveau de liberté. Quiconque visite la « Diwaniyah » au Koweït ne le quittera que s’il est convaincu que le peuple koweïtien est libre par nature, généreux en origine et genre dans leur traitement.

Il s’agit du Koweït, et pas seulement d’un point de notre globe. Ses relations avec la France depuis plus de deux siècles prouvent qu’il est une terre de sécurité et de paix, comme le prouvent les documents officiels français.

L’avenir des relations bilatérales entre la France et le Koweït est de bon augure : la France s’intéresse clairement à l’État du Koweït ces dernières années, les visites de chercheurs français dans le pays se multipliant, tout comme le nombre de fouilles archéologiques. missions et le nombre d’étudiants souhaitant étudier le dialecte koweïtien et l’arabe classique au Koweït. Les deux pays ont signé de nombreux accords bilatéraux au niveau gouvernemental et privé, ce qui démontre l’évolution positive des relations entre les deux pays et le rapprochement culturel entre les deux peuples.

J’espère avoir l’opportunité d’écrire de nombreux livres pour enregistrer la profondeur des relations afin de former une archive vivante pour les générations futures. J’espère également que le lecteur aura bénéficié du contenu informatif du livre.

Je cherche une excuse pour toute erreur mentionnée dans le livre, car le français n’est ni ma première ni ma deuxième langue, et j’exagérerais si je le considérais comme ma troisième langue !

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La Gazette

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