Je ne suis qu’un boulevardier ma chère aimée…
Je lance mon ancre là où ça me plait …
Je voyage avec mes chagrins au dos …
Je perds mon cœur loin dans les océans …
Comme un oiseau libre je vole toujours …
Rien que pour suivre ton ambre mon amour …
Bonjour la joie, oh.., toi ma belle foie …
Le cœur ne sonne dans la vie qu’une seule fois …
Vois –tu ma biche que la vie est encore en rose …
Comme disait Edith, et cela me dis quelques choses …
Que des chants pour toi, et des belles mélodies …
Des chants, disant, qui me jouissent jusqu’au l’infinie..
Kamel Faras
Un boulevardier à Huttein